Les domaines d’action

  • Les besoins vitaux (nourriture, eau) ;
  • Le logement (et plus largement les problématiques de « l’habiter ») ;
  • La protection (victimes de violence, réfugiés, etc.) ;
  • La santé (prévention, soins, suivi, fin de vie, etc.) ;
  • L’inclusion sociale (insertion professionnelle, rupture d’isolement, socialisation, accessibilité, démarginalisation, réparation, etc.) ;
  • Le lien social (don, partage, transmission, etc.) ;
  • L’enseignement, la formation, l’éducation ;
  • La culture (dont les arts) ;
  • Le soutien à d’autres acteurs de la solidarité sociale, notamment grâce à l’invention de nouveaux outils (plateformes de financement, de bénévolat, d’agrégation de projets, etc.).

Les publics

  • Les personnes menacées dans leurs besoins vitaux (famine, désertification, etc.) ;
  • Les personnes malades ;
  • Les personnes victimes de violence ;
  • Les jeunes en difficulté scolaire et/ou sociale ;
  • Les seniors, en particulier les séniors dépendants ;
  • Les porteurs de handicap, qu’il soit physique, psychique, chronique ou temporaire, et quel que soit l’âge ;
  • Les personnes en situation de précarité (pauvres, analphabètes, SDF ou mal logés, migrants, réfugiés, populations rurales isolées sans accès aux équipements de base, etc.) ;
  • Les minorités discriminées.

Les acteurs de la solidarité sociale

  • Les acteurs strictement bénévoles (associations et fondations sans salariés ni activité économique de support, fonctionnant uniquement sur le principe des dons et des subventions).
  • Les acteurs de l’économie sociale et solidaire : associations, fondations, coopératives, sociétés coopératives et participatives (Scop), associations pour le maintien d’une agriculture paysanne (Amap), etc., ayant une activité peu lucrative et dont le profit financier n’est jamais le premier objectif, soit ce que l’on appelle aussi le tiers secteur (par rapport à l’État et aux entreprises purement capitalistes).
  • Les acteurs de l’entrepreneuriat social : entreprises à vocation sociale, dont la dimension lucrative est strictement encadrée, sans capitalisation, avec une gouvernance démocratique et un fonctionnement participatif (inclusion des acteurs bénéficiant de l’activité dans la conception, la réalisation ou encore la distribution des produits et services).
  • Les acteurs de programmes ou projets à vocation et fonctionnement solidaires, au sein d’organisations ou d’entreprises n’ayant pas elles-mêmes pour finalité première cette dimension sociale et solidaire. Par exemple, des programmes de recherche-action allant dans ce sens, mis en place par des écoles ou universités ; ou des pratiques émergentes, innovantes, inventives nées au sein d’organisations qui n’auraient pas encore pris le temps ou eu l’opportunité de leur donner une forme juridique à part entière, correspondant précisément à leur nature.